A partir d'un discours autoréférentiel, la pratique de Fernando Polidura questionne divers aspects punitifs, marginaux et vulnérables du corps et de la condition humaine, offrant en même temps une vision plus intime et grossière qui contrevient aux conventions de beauté et d'idéal de l'être humain contemporain. Simultanément, son approche vise à configurer un ensemble d'œuvres qui abordent différents domaines, tels que la qualité transitoire, instable et périssable du corps, la maladie, la foi et l'héritage dominant de l'art classique qui définissent notre perception du présent.